Conseils et conditions pour les randonnées

  • Nous sommes présents avec vous pour toutes les personnes en balade. (Sarah, Quentin ou les deux le plus souvent). La raison est multiple : niveau assurance en cas d’accident, ainsi que pour vous aider en cas de soucis.
  • En fonction de vos préférences, nous pouvons :
    • soit rester près de vous pour vous aider, papoter, répondre à vos questions, prendre des photos, voir même tenir un âne si il le fallait
    • soit, rester au loin devant ou derrière vous (de « principe »)
  • Que faut-il emporter ?
    • De bonnes chaussures (éviter les tongs)
    • De quoi s’hydrater
    • Des habits salissants car nos poilus sont poussiéreux
    • Un appareil photo ?

Avant chaque départ, petit temps pour aller à la rencontre des ânes et brosser celui ou ceux qui iront se balader. Prévoyez donc du temps en plus de la balade !

  • Un adulte par âne au moins. L’âne reste un animal, il peut s’effrayer, il peut tirer, il peut faire un écart.
  • Veillez à ne jamais avoir une corde enroulée autour de votre main. Si l’âne devait prendre peur et qu’il tire, cela pourrait avoir de graves conséquences. Si un âne prend la fuite et qu’il tire très fort d’un coup, lâcher la corde, il n’ira pas bien loin.

  • En début de balade, l’âne va vous tester ! Il va directement essayer d’aller manger la première touffe d’herbe qu’il verra. Votre enfant n’aura pas suffisamment de poigne pour l’en empêcher. L’adulte devra l’aider. Pour débuter la balade, l’adulte peut donc se mettre entre l’enfant et l’âne. Ce comportement cessera au fur et à mesure de la balade.

  • Pour avancer, un âne ne se tire pas, ou peu. Si il résiste ou marche trop lentement, le mieux reste de demander de l’aide à une autre personne pour pousser l’âne par derrière. (physiquement ou en faisant un peu de bruit « hop hop hop !)
  • Il ne faut pas (et nous ne voulons pas – excepté danger) que nos ânes soient tenus à ras le licol (le machin autour de leur tête). Il faut marcher la corde assez lâche pour permette un balancier de la tête. Attention, à l’inverse, celle-ci ne doit pas traîner le sol. Une coordination à avoir donc ! Pas évident vous verrez ! Nous donnons de plus petites cordes aux enfants.

  • Vous pouvez aussi marcher à deux mètres devant l’âne ; il vous fait confiance.
  • Attention aux voitures ! Bien que nous soyons en campagne parmis les champs, il se peut que nous croisions des voitures. Selon les heures, nous pouvons en croiser aucune ou plusieurs ! Les chemins nous permettent en général une bonne visibilité de loin, et une possibilité d’anticipation. Il suffit à l’adulte d’arrêter l’âne, de le laisser brouter sur le côté droit du chemin et de le tenir un peu plus serré.
  • Selon la balade choisie, nous pouvons être amenés à marcher le long d’une ligne de TGV. Ceci peut surprendre … vos enfants et les parents ! Nos ânes connaissent le TGV 😉
  • Ne pas courir derrière un âne ; cela peut lui faire peur et il va soit s’encourir soit botter,
  • Si un âne s’arrête, il peut y avoir beaucoup de raison. Vous pouvez lui laisser 15 secondes de réflexion. Il s’agit peut-être d’une vache au loin, d’une voiture que vous n’avez pas vu, ou d’une flaque d’eau qui lui bloque le passage.
  • Il n’est pas rare de croiser un cheval et son cavalier. Les chevaux ont bizarrement, et très souvent peur des ânes. Rebrousser chemin si nécessaire pour laisser de la place au cheval !